Une enquête a été ouverte à la suite du comportement de l’équipe camerounaise.
L’Angleterre s’est qualifié en quarts de finale de la Coupe du monde avec une victoire 3-0 sur le Cameroun au stade du Hainaut de Valenciennes, un match encore dominé par les décisions de la VAR.
Partant du fait que le comportement de Luis Suarez contre le Ghana n’a pas porté atteinte à l’image de la Coupe du Monde, les enfantillages de l’équipe camerounaise n’auront aucune incidence.
Après un but de l’opposition, le Cameroun refuse de poursuivre la rencontre, puisque la VAR a annulé un hors-jeu de l’équipe adverse, entourant l’arbitre, bloquant le match pendant plusieurs minutes supplémentaires, apparemment pour décider de continuer ou non le jeu. Les joueuses et le staff technique accusent les officiels de match et la FIFA de racisme alors qu’ils quittaient le terrain à la mi-temps, car ils estimaient que des décisions avaient été prises contre eux.
Suivi par plusieurs joueuses camerounaises qui menacent de quitter le terrain à nouveau lorsqu’elles ont un but, annulé par la VAR en deuxième mi-temps, car une joueuse camerounaise était hors-jeu.
C’était surement l’un des pires comportements d’une Coupe du monde, mais pas le pire. Cela n’affecte en rien la réputation du football féminin, même si une partie du comportement du Cameroun était scandaleuse, notamment Toni Duggan avec un visage dégoûté lorsque le crachat de Augustine Ejangue se posa sur son bras.
Yvonne Leuko qui a renvoyé son coude sur le visage de Nikita Parris sans avoir été sanctionné d’un carton. Cela aurait dû être rouge.
Encore une fois, l’arbitre brandissant un carton jaune au lieu d’un rouge suivant un tacle brutal de Alexandra Takounda sur Steph Houghton hors du terrain. Les camerounaises pourraient prétendre avoir été désavantagées par les officiels, mais elles ont également bénéficié du doute plus d’une fois.