-Depuis l’intervention de l’ONU sur le territoire Haïtien, un rapport dénonce les abus et nombreux viols
« Victime Numéro Un » raconte aux enquêteurs la façon dont elle à été violé par près de 50 Casques Bleus à 12 ans jusqu’à l’âge de 15 ans.
« Je n’avais meme pas encore des seins », alors que ce « Commandant » lui donne 75 Centimes pour du sex.
Un rapport interne écœurant expose les abus sexuels à Haiti entre 2004 et 2007.
Au moins 134 Casques Bleus Sri Lankais ont violés 9 enfants d’environ 12 ans dans un réseau de trafique sexuel, en offrant des biscuits et gouter en échange de sex.
« Victime Numéro 2 » avait 16 ans lors de son interview avec les enquêteurs, elle déclare avoir eu des rapports sexuelles avec un « Commandant » Sri Lankais au moins 3 fois, le décrivant comme étant un homme obèse avec une moustache et une bague en or. Elle rajoute qu’il lui montrait régulièrement une photo de sa femme.
Martine Gestime, 32 ans, à été violé par un Casque Bleu Brésilien en 2008 et tombe enceinte de son fils.
Actuellement 114 Casques Bleus sont rentrés chez eux et aucun emprisonné. La justice pour les victimes est très rare.
Dans les 12 dernières années, les enquêteurs recensent plus de 2 000 allégations d’abus sexuels par les Casques Bleus et plus de 300 allégations impliquant des enfants mais une petite fraction des agresseurs font de la prison.
Dans un cas particulier à Haiti, un petit garcon à subi un viol collectif en 2011 par des Casques Bleus Uruguayen qui avaient filmé la scene sur un portable, la vidéo avait fait le tour du net.
Les coupables n’ont jamais étés jugés à Haiti, 4 sur 5 ont étés reconnus coupables en Uruguay de « violence privée », une infraction moindre.
Selon LES OFFICIELS URUGAYENS, le VIOL COLLECTIF DU JEUNE GARCON à l’époque était UNE BLAGUE QUI A MAL TOURNÉE et qu’il ne s’est produit aucun viol.
Mario Joseph est un de nombreux avocats Haïtiens à essayer d’obtenir des reparations pour les victimes, notamment la souche de cholera liée aux Casques Bleus Népalais ayant tué plus de 10 000 Haïtiens.
Aujourd’hui il essaye d’obtenir des pensions alimentaires pour une douzaine de femmes enceintes abandonnées par les Casques Bleus.
Un garcon, « Victime Numéro 8 », déclare avoir eu des relations sexuelles plus de 20 fois avec des Sri Lankais. La plupart retire leurs patronymes avant de l’emmener dans les camions militaire des l’ONU ou il donne du sex oral ou se faisait sodomiser par eux.
Un autre garcon, « Victime Numéro 9 » avait 15 ans ou sur une durée de 3 ans, déclare avoir eu des relations sexuelles avec plus de 100 Casques Bleus Sri Lankais, soit 4 rapports par jour selon les enquêteurs.
Pourtant sous la constitution Haïtienne, avoir des rapports sexuelles avec une personne en dessous de 18 ans est un détournement de mineur.
Janila Jean déclare avoir 16 ans et vierge lorsqu’un Casque Bleu Brésilien l’attire dans un quartier de l’ONU il y a 3 ans avec du pain, puis la viole et l’abandonne avec un enfant. Elle se retrouve constamment en larmes.
« Il y a des jours ou je m’imagine étranglé ma fille à mort » dit elle dans une interview à Jacmel, Haiti.
Cependant, comme beaucoup d’autres Jean n’a pas rapporté le viole par peur de représailles.
Les Haïtiens pensent que l’ONU à fait plus de mal que de bien dans un pays qui, depuis être devenu la première République noire en 1804 enchaine les tragédies.