In case you missed it. This #KessieNair has the audacity to call our whole PRESIDENT the K-word. Some people have balls of brass I swear.
— Theodorah Mchenga †♡ (@MissManjo_NoMor) September 20, 2018
Now he wanna apologize when he DELIBERATELY said this word TWICE & even took this video and shared it.
What did he think was gonna happen? pic.twitter.com/XqYSXKsgoQ
L’ancien conseiller de Durban et ancien condamné Kessie Nair a été arrêté mercredi à Phoenix, une zone résidentielle principalement indienne dans la province du KwaZulu-Natal, suite à sa vidéo.
Kessie Nair condamné à six ans de prison pour fraude en 2005, a été arrêté après avoir utilisé une insulte raciale à l’encontre du président Cyril Ramaphosa dans une vidéo de près de cinq minutes. Nair qui est d’origine indienne, dit qu’il est prêt à prendre une balle ou à aller en prison pour le reste de sa vie.
« Je demande par la présente à ce K****r Président de l’État Mr Cyril Ramaphosa, oui je veux dire le K****r président de l’État Cyril Ramaphosa, devrait être accusé d’avoir abusé de cette nation, d’avoir opprimé cette nation, pour haute trahison, pour échec et il est la source de toutes les violences, de la criminalité, mauvais soins de santé, la pauvreté qui prévaut dans une soi-disant véritable démocratie », a-t-il déclaré dans la vidéo. « Les marches, les journées Mandela sont une totale moquerie pour le sang, les sacrifices de Nelson Mandela ».
Nair a déclaré à News24 que les gens ne devraient pas le juger par ce seul message, mais plutôt regarder tous les messages de justice sociale qu’il a publiés précédemment sur les réseaux sociaux. « Comment est-il possible que je puisse dire le même K-word aux gangsters les plus dangereux et en sortir vivant ? Les mots ne vous feront pas de mal, ils ne feront pas couler votre sang ».
Une plainte a été déposé contre Nair au poste de police de Bayview. Il doit comparaître devant le tribunal pour incitation à la violence et crimen injuria ou pour avoir porter atteinte à la dignité d’une personne, a indiqué la police.
Faut les virer du continent